La grossesse et le diabète gestationnel

La grossesse, loin de se limiter à un simple phénomène biologique, réveille souvent des mémoires enfouies dans l’histoire familiale.

Chaque symptôme ou manifestation de notre corps trouve une résonance dans nos émotions et nos conflits intérieurs. Au cours de la grossesse, notre organisme s’adapte non seulement au développement du fœtus, mais il réajuste également nombre de nos schémas émotionnels.

On dit souvent qu’attendre un enfant réveille certains conflits latents :

  • de la relation avec sa propre mère,

  • en passant par le désir (ou la crainte) d’être parent

  • en lien avec l’engagement

  • jusqu’aux mémoires transgénérationnelles qui peuvent se raviver à cette période.

Durant la période où la vie se développe dans l’utérus, des « couches » inconscientes se réveillent et s’expriment à travers le corps, comme un appel à libérer d’anciens schémas.

De nombreuses femmes ressentent, parfois sans en avoir conscience, l’écho de grossesses passées dans l’arbre familial. Quelle est l’histoire de ces femmes ?

Viols ayant abouti à une grossesse ; Mémoires de fausse couche ou de mort périnatale dans la lignée ; Grossesses non désirées ou vécues dans la détresse (famine, guerre, séparation, rejet),
Sacrifices de mères pour sauver ou nourrir leur enfant,
Avortements subis ou non voulus (par la famille, le conjoint, etc.).
Ces empreintes émotionnelles peuvent rejaillir à l’occasion d’une nouvelle grossesse, faisant émerger peurs, angoisses ou symptômes physiques.

  • Le décodage biologique et énergétique offre alors des clés de lecture pour mieux comprendre le sens de ces manifestations et cheminer vers plus de paix et d’harmonie.

COMPRENDRE LE DIABÈTE GESTATIONNEL
Le diabète gestationnel est un trouble qui apparaît généralement au deuxième ou au troisième trimestre de grossesse, quand le corps de la mère devient moins sensible à l’insuline. Cela s’explique en grande partie par les changements hormonaux qui modifient la réactivité des cellules à l’insuline. Le pancréas doit dès lors produire davantage d’insuline pour maintenir une glycémie normale. Si cette production supplémentaire ne suffit pas, le taux de sucre dans le sang (glycémie) augmente : on parle alors de diabète gestationnel.

Conséquences sur le fœtus :

  • Croissance excessive (macrosomie) car le fœtus reçoit trop de glucose, stimulant son pancréas à produire plus d’insuline.

  • Hypoglycémie néonatale après la naissance (le pancréas du bébé continue de produire trop d’insuline).


Ce type de diabète illustre avant tout un conflit lié à la mère nourricière. Le corps de la femme augmente son taux de glucose pour « alimenter » le fœtus, coûte que coûte. C’est la volonté biologique, presque « primitivement programmée », d’assurer la survie de l’enfant dans un contexte que l’inconscient perçoit comme menaçant ou instable.

  • La mère augmente le carburant, et fait tout ce qu’elle peut pour que son bébé tienne le coup ».

  • Mémoire de grossesse difficile : quelle est la femme dans ton histoire familiale ou personnelle qui a vécu une perte ? (Avortement, mort périnatale, détresse…). Cherche toutes les histoires en lien avec la « survie » d’un nourrisson.

  • Ce vécu peut générer un besoin irrépressible de « surdoser » la nutrition pour éviter de revivre ce drame.

  • le diabète gestationnel peut aussi révéler qu’une femme de la lignée a tenté de sauver son enfant mais a échoué.

La vision énergétique : un conflit en lien avec la TERRE

c’est un conflit TERRE/TERRE en lien avec le Pancréas (qui est géré par l’élément Terre) et la glycémie ( le sucre est aussi lié à la Terre)

On va ainsi chercher :

  • une opposition entre deux femmes à propos d’une grossesse ou d’un avortement

  • une opposition entre deux clans, deux familles au sujet d’un avortement ou d’une grossesse, ou le choix de garde d’un enfant

  • une opposition interne entre moi en tant que mère et moi en tant que femme.

  • on ne peut pas compter sur le clan, la mère ou la famille puisqu’il en faut deux (TERRE/TERRE) : mémoire de manque de soutien de la mère pendant une grossesse, mémoire de manque affectif de la mère ; Quelle est la mère qui n’a pas été « maman »?

Isabelle BOOS

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